Ô mon frère, les fléaux se sont généralisés et sont devenus des calamités, et se sont emparés des cœurs, et je vais te questionner par rapport à une affaire et réponds-y, entre toi-même et ton Seigneur : Est-ce qu'une de tes assises était exempte de médisance ?
Par Allah, réponds-y !
Entre toi-même et ton Seigneur : Est-ce qu'une de tes assises était exempte de médisance ?
Sachant que la médisance fait partie des grandes transgressions et des péchés majeurs, elle fait partie des droits [sacrés] des serviteurs [d'Allah].
Autrement dit : Quand bien même le serviteur implorerait le pardon [d'Allah], qu'il se repentirait et reviendrait [à Allah] repentant, le droit du serviteur devra être rendu par le Seigneur le jour où les balances seront placées, est-ce que une de tes assises - Toi ! Oui toi ! - était exempte de médisance ?
Qui es-tu ?
Qui crois-tu être ?
Ne vas-tu pas [prendre conscience de la situation] ?
Ne vas tu pas faire attention ?
N'as tu pas honte ?
Crains Allah ton Seigneur !
Et Allah Ta'ala te protégera et veillera sur toi et me pardonnera et te pardonnera ce que nous avons commis dans le passé (comme mauvaises actions), et ce que nous allons commettre dans l'avenir, en secret et en public, et ce qu'il connaît plus que nous, et c'est Lui le grand connaisseur de tout ce qui est inconnu, et c'est Lui qui couvre les défauts (de ses serviteurs).
Il n'y a de force ni de puissance qu'en Allah Le Très Haut Le Très Grand, et que la Paix et le Salut soient sur notre Prophète Mohammad, sa famille et tous ses compagnons.
Cheikh Muhammad Sa’îd Raslân - الشيخ محمد سعيد رسلان